La dette de l'Etat est passée en 2008 à 89,7pc du PIB. Sans la crise financière, le ratio de la dette aurait été de 83,4 pc. C'est ce qui ressort notamment du rapport 2008 de la dette fédérale présentée mardi par le ministre des Finances Didier Reynders et le président du Comité de direction du SPF Finances Jean-Pierre Arnoldi.
dinsdag 23 juni 2009
Flexicurity in Belgium. A proposal based on economic principles
The current unemployment insurance and employment protection legislation were set up in an environment in which relationships between workers and firms were typically long-lasting and stable. The increasing globalisation of the economy and the rapid technological and organisational changes require more flexibility leading to career paths which are much more volatile both within and between firms. Current institutions must be therefore urgently reformed to reconcile this new need of more flexibility with that of security for workers. Rather than proposing a reform on the basis of existing institutions abroad, we propose a reform that is explicitly guided by economic principles.
http://www.ifo.de/pls/guestci/download/CESifo+Working+Papers+2009/CESifo+Working+Papers+May+2009/cesifo1_wp2655.pdf
http://www.ifo.de/pls/guestci/download/CESifo+Working+Papers+2009/CESifo+Working+Papers+May+2009/cesifo1_wp2655.pdf
Overdependence on credit ratings was a primary cause of the crisis
The first part of the paper describes how over time credit rating agencies ceased to play the role of information intermediaries. Rating agencies did not provide information about the risk associated with the securitized instruments, but they simply enabled structurers to create and maintain tranches of these instruments with unjustifiably high credit ratings. The second part of the paper suggests how future policy may minimize overdependence on credit ratings, by removing regulatory licences and by implementing shock-therapy mechanisms to wean investors simple rating mnemonics.
Paper from Frank Partnoy, University of San Diego, 22 June 2009
Paper from Frank Partnoy, University of San Diego, 22 June 2009
European public opinion, migration and welfare benefits
Public opinion is turning against migration during the recession, as generous European welfare states make migrants a potential fiscal burden. This column warns against the excessively exclusionary solutions to which voters are turning and suggests decoupling migration and the welfare state.
Full article: It is migration, stupid (T. Boeri, VoxEU, 23/06/2009)
Full article: It is migration, stupid (T. Boeri, VoxEU, 23/06/2009)
Le Belge dépense toujours plus pour sa santé
Le nombre de consultations chez les médecins spécialistes a progressé de 4,9 % en 2008. Et celles auprès des généralistes ont fait un bond de 6,4 %, du jamais vu. Au total, cela représente des dépenses de 953 millions d'euros (+ 19,3%).
Parmi les spécialistes, ce sont surtout les cardiologues (+10,5 %), les urgentistes (+3,7 %) et les neurologues/psychiatres (+3,2 %) qui ont vu le nombre de leurs consultations progresser. Les gastro-entérologues ont par contre vu leurs consultations baisser de 16,6 %.
Selon les chiffres de l'Inami publiés par le Journal du médecin, les dépenses pour les spécialistes ont augmenté de 8,3 %, passant de 391 à 423 millions d'euros.
« Ce sont surtout les patients indépendants qui sont responsables de cette augmentation », affirme le Journal du Médecin. Sans eux, on constaterait une baisse globale de 1,1 % des consultations de spécialistes.
Les consultations auprès des généralistes ont, elles, fait un bond de 6,4 %, passant de 29,26 à 31,14 millions en 2008. Un chiffre jamais vu, alors que la hausse oscillait entre +0,7 et 2,5 % les années précédentes.
La hausse des dépenses est encore plus importante puisqu'elle atteint 11 %, pour atteindre 530 millions d'euros.
Le Soir, 23/06/2009
Parmi les spécialistes, ce sont surtout les cardiologues (+10,5 %), les urgentistes (+3,7 %) et les neurologues/psychiatres (+3,2 %) qui ont vu le nombre de leurs consultations progresser. Les gastro-entérologues ont par contre vu leurs consultations baisser de 16,6 %.
Selon les chiffres de l'Inami publiés par le Journal du médecin, les dépenses pour les spécialistes ont augmenté de 8,3 %, passant de 391 à 423 millions d'euros.
« Ce sont surtout les patients indépendants qui sont responsables de cette augmentation », affirme le Journal du Médecin. Sans eux, on constaterait une baisse globale de 1,1 % des consultations de spécialistes.
Les consultations auprès des généralistes ont, elles, fait un bond de 6,4 %, passant de 29,26 à 31,14 millions en 2008. Un chiffre jamais vu, alors que la hausse oscillait entre +0,7 et 2,5 % les années précédentes.
La hausse des dépenses est encore plus importante puisqu'elle atteint 11 %, pour atteindre 530 millions d'euros.
Le Soir, 23/06/2009
La Belgique, leader de la pression fiscale dans l'eurozone
Avec des recettes fiscales se montant à 44% de son produit intérieur brut (PIB), la Belgique a la pression fiscale la plus forte de la zone euro, selon des chiffres de 2007 livrés lundi par l'Office européen de statistiques, Eurostat.
Au niveau des 27 pays de l'Union européenne, la Belgique arrive en troisième position, derrière le Danemark (48,7%) et la Suède (48,3%).
C'est surtout au niveau de la fiscalité sur le travail que la Belgique se démarque, avec un taux d'imposition moyen de 42,3%, contre 34,3% en moyenne dans les 16 pays de la zone euro. Seule l'Italie (44%) impose davantage le travail que l'Etat belge.
En revanche, celui-ci taxait la consommation à hauteur de 22% (contre 21,5% en moyenne dans la zone euro), et le capital à hauteur de 31,1% (contre 29,8%).
Bien que parmi les plus élevées d'Europe, la pression fiscale en Belgique a diminué depuis 2000, passant de 45,2% du PIB en 2000 à 44,0% en 2007, selon Eurostat. Une tendance globale à l'eurozone où cette pression est passée de 41,2% à 40,4% sur la même période.
L'étude montre enfin que le taux d'imposition légal maximal sur les revenus des personnes physiques ainsi que sur ceux des entreprises a baissé presque partout en Europe.
En Belgique, le taux maximal d'imposition est ainsi passé de 60,6% en 2000 à 53,7% en 2008 pour les personnes physiques (de 48,4% à 42,1% en moyenne dans l'eurozone) et de 40,2% à 34% pour les revenus des entreprises (34,9% à 26% dans l'eurozone).
L'Echo, 22/06/2009
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