dinsdag 30 juni 2009

Le financement des partis est mal contrôlé

Les partis politiques sont financés en moyenne à 85% par le public. Mais les contrôles sont faibles, surtout au niveau local, et les sanctions sont souvent inexistantes.


La Belgique a encore du chemin à faire en matière de transparence du financement des partis. C’est ce qui ressort d’une étude du Greco (groupe d’États européens contre la corruption, créé par le Conseil de l’Europe). Il s’agit surtout d’un manque de contrôle et de sanction. La Belgique ne connaît plus de grosses affaires politico-financières grâce à la loi de 1989 sur le financement public mais tout n’est pas encore au point.
Le système de contrôle de financement des partis n’est pas vraiment indépendant. Les partis choisissent la composition des commissions parlementaires de contrôle. Le Greco va plus loin: il estime même que «les commissions montrent un manque de volonté lorsqu’il s’agit d’exercer un véritable contrôle et de prendre des décisions susceptibles de conduire à une sanction. Le tableau est particulièrement défavorable pour les comptes de campagnes électorales: aucune mesure véritable n’a été prise même lors du non-dépôt des comptes».
Pour le Greco, il est d’ailleurs difficile de faire plus qu’un contrôle de forme au vu du peu de moyens. La base de travail est l’avis de la Cour des Comptes. Or celle-ci n’a pas accès aux pièces et justificatifs comptables. Enfin, les normes d’audit (indépendance et champ d’action) ne sont pas assez exigeantes, selon le Greco. Le contrôle est donc pauvre. Les sanctions le sont tout autant. La principale sanction pour un parti est la déchéance de financement fédéral. Elle est de courte durée (4 mois) pour une violation grave. Et le parti peut toujours bénéficier d’autres aides publiques. Quant aux sanctions personnelles, les élus locaux sont les seuls à risquer la perte de leur mandat. Aucune règle n’est prévue pour la récidive.

L’association Transparency International Belgium souligne que le manque d’indépendance du contrôle de financement des partis «affecte la confiance du public dans le système politique». Selon une enquête de l’association, seuls 27 % des candidats aux élections régionales en juin désiraient desrègles plus strictes en matière de contrôle du financement des partis politiques. La majorité défendait un statu quo.

Le financement par les personnes morales (sociétés, associations ou autres) a été aboli en 1993. Les candidats ne doivent plus faire des promesses aux entreprises, comme aux Etats-Unis. Néanmoins, le Greco pointe que «le sponsoring de personnes morales n’est pas interdit, ni encadré, offrant ainsi des facilités pour contourner l’interdiction légale des dons de personnes morales». Le Greco précise aussi que les dons des personnes physiques peuvent être faits en cash. Et s’ils font moins de 125 euros, un reçu n’est pas obligatoire.
Si la loi sur le financement permet d’éviter les pressions d’entreprises, le Greco déplore la politisation de l’administration. L’association s’attaque surtout aux collectivités locales qui jouissent d’une forte autonomie et échappe au contrôle de la Cour des Comptes. Le receveur communal, qui doit contrôler les comptes locaux, passe parfois au-dessus de certaines formes de manipulations.

Depuis 1989, les partis belges sont financés à 85 % par les pouvoirs publics. Le fédéral octroie annuellement 125 000 euros et 1,25 euro par voix obtenue. Les partis reçoivent un complément fédéral s’ils ont au moins cinq élus qui forment un groupe politique. Les Régions octroient aussi une dotation. Le Parlement flamand donne un forfait de 62 000 euros et un variable de 1,49euro par voix aux partis. Mais ceux-ci doivent avoir au moins cinq élus dans l’assemblée.
En 2008, le MR a reçu davantage de dotations fédérales que les trois autres partis francophones. Les libéraux ont reçu près de 4,4 millions d’euros de la Chambre et du Sénat. Cette différence s’explique par la représentation plus forte du MR, surtout dans la haute assemblée. Le PS, par contre, a reçu nettement plus que les trois autres partis francophones de la Communauté française. Avec presque 733 000 euros, le PS a récolté un peu moins du double du MR et presque 10 fois l’allocation d’Ecolo. Les dotations régionales bruxelloise, wallonne et germanophone du MR et du PS sont similaires (2,2 millions).

Ces données portent sur l’année 2008. En 2010, Ecolo aura une dotation régionale probablement doublée par rapport à leurs 852 233 euros de 2008. Le cdH va continuer à recevoir près de 2,6 millions des entités fédérées, vu son score stable en juin.

Soins de santé: rembourser autrement le Pet scan

Le KCE préconise de financer différemment cet outil médical très onéreux.

Le Centre fédéral d’expertise des soins de santé (KCE) a rendu public lundi un rapport qui préconise de nouvelles règles de financement des examens réalisés par les Pet Scans, ces appareils médicaux sophistiqués employés pour détecter et analyser certaines tumeurs cancéreuses. Le hic : ils sont extrêmement coûteux pour la sécurité sociale. Le KCE regrette en effet que les examens réalisés par des appareils non autorisés soient malgré tout remboursés, car les hôpitaux utilisent une voie détournée qui consiste à utiliser un autre code de nomenclature. Le rapport suggère d’abandonner le système actuel dit "de programmation" qui permet cette entourloupe au profit de l’instauration de "critères qui garantissent que seuls les examens dont l’utilité est scientifiquement fondée soient encore remboursés".
Ainsi en 2007, à côté des quelque 18 500 examens officiels (facturés pour environ 3 millions d’euros), les deniers publics auraient aussi servi à financer environ 20 000 examens non officiels (5,5 millions d’euros).
La Libre Belgique, 30/06/2009

Soins de santé: le Belge coûte 1773€ à l'Inami

On sait bien que l’âge a une influence importante sur la santé. Et cette influence se marque directement dans les dépenses de soins couvertes par l’assurance-maladie. Dans son dernier rapport annuel, l’Inami aligne les chiffres qui en attestent. En moyenne, le Belge coûte 1 773 € à l’assurance-maladie. Mais ce coût varie fortement en fonction de l’âge. Jusqu’à 9 ans, l’assuré social coûte environ 743 € par an à l’Etat pour ses soins de santé. Adolescent, il coûtera un peu moins : 581 € par an. Mais ensuite, le coût annuel moyen à charge de l’Inami ne cessera d’augmenter : 822 € pour les personnes âgées de 20 à 30 ans, 1 001 € pour les 30-40 ans, 1 177 € pour les 40-50 ans, 1754 € pour les 50-60 ans, 2580 € pour les 60-70 ans, 4121 € pour les 70-80 ans, 6 835 € pour les 80-90 ans et 11452 € pour les personnes qui ont plus de 90 ans. De quoi donner une petite idée des effets potentiels du vieillissement de la population sur les finances de l’Inami....
Pour lire l'article complet de La Libre Belgique (30/06/09), cliquez ici.
Pour consulter le rapport annuel 2008 de l'Inami, cliquez ici.

maandag 29 juni 2009

The cost of medical innovation

Many healthcare policymakers and analysts are focused on controlling rising medical costs. Is attacking high-cost, low-benefit medical innovation a solution? This column estimates that medical innovation – the use of advanced diagnostic imaging, newer drugs, and higher-ranked physicians – significantly increases life expectancy without raising medical expenditures per capita.
The full article is available here.

Why we shouldn't subsidise clean-energy technologies?

Nearly all economists agree that the most efficient way to address environmental problems is to raise the cost of the pollution-generating activity, but US policies subsidise clean-energy alternatives instead. This column criticizes that approach – subsidies lower the cost of energy, play favourites with technologies, are often inframarginal, and frequently interact in unexpected ways with other policies.
The full article is available here.

How bad are bubbles for welfare?

The financial sector is prone to crises, which are typically associated with serious effects on output and employment. This column weighs the costs and benefits of financial deregulation that spurs temporarily high growth that then collapse and suggests that bubbles may be socially efficient.
The full article is available here.

Ageing populations: scrimp and save

Pensions will have to become far less generous

THE past few decades have been the cushiest time ever to be a pensioner in a developed country. Not only has the world been getting ever richer (at least until very recently), which rubbed off on pensioners too; but as a group they have also become much more comfortable relative to the rest of the population. In recent years mandatory pensions across the OECD, net of taxes and social-security contributions, averaged over 70% of previous net earnings for people on average pay and over 80% for the low-paid. For the better-off the replacement ratio was lower, but they can cope. ...
For the full article, click here.
This article belongs to a special report on ageing populations in which you can also find:
(The Economist, June 25th 2009)

La BRI prône une fin rapide des plans de relance économique

La Banque des règlements internationaux (BRI) a appelé lundi les gouvernements à mettre un terme aux programmes de relance économique dès que le secteur financier sera suffisamment assaini, craignant que ces plans n'induisent trop d'inflation et de protectionnisme.

Magnette : capter la rente nucléaire

Une étude légitime la taxe de 250 millions, selon le ministre de l'Energie.

http://www.lalibre.be/economie/actualite/article/512578/magnette-capter-la-rente-nucleaire.html

vrijdag 26 juni 2009

Chancellor Merkel Visits the Debt President

The occupant of the White House may have changed recently. But the amount of ill-advised ideology coming from Washington has remained constant. Obama's list of economic errors is long -- and continues to grow. Read the full article here.

Nouvelle arme anti-faillites

Sabine Laruelle (MR) octroie une aide de crise aux indépendants.

L'article de la DH (26/06/2009) est disponible ici.

Meer hoogopgeleide starters door crisis

Het aantal hoogopgeleide jongeren dat een eigen zaak start, is het voorbije jaar gestegen. 'Omdat deze jongeren in de bedrijfswereld momenteel moeilijker een job vinden, wagen ze zelf hun kans in de IT-, de bank- en de verzekeringensector', legt UNIZO-topman Karel Van Eetvelt uit.

Het aandeel starters in de bank- en verzekeringensector steeg vorig jaar met 15,26 procent. De sector recreatie en cultuur ging zelfs nog sterker vooruit, met 17,52 procent. Andere sectoren die licht vooruit gingen zijn de diensten aan personen, de informaticasector, de zakelijke dienstverlening en zelfs de horeca.

In totaal zou het aandeel hooggeschoolde starters ten opzichte van het totaal met 25 procent toegenomen zijn.

Budgets des recettes et des dépenses de la Région wallonne pour l'année budgétaire 2009

Pour l'exposé complet du Service Public de Wallonie, cliquez ici.

Households hit hard by wealth losses

  • Global financial crisis erodes household wealth in advanced countries
  • Increasing balance sheets implied higher vulnerability to equity and house price shocks
  • Recent wealth losses have depressed consumption and contributed to rise in savings

http://www.imf.org/external/pubs/ft/survey/so/2009/num062409a.htm

Vlaming betaalt een derde meer belasting

Een modale Vlaming betaalde twee jaar geleden 5.284 euro personenbelasting. Dat is een derde meer dan de gemiddelde Franstalige. De 58 procent Vlamingen in dit land betalen bijna 64 procent van de totale Belgische belastingfactuur.

donderdag 25 juni 2009

IMF Update on Fiscal Stimulus and Financial Sector Measures around the world

Read the IMF report here.

«Etudes sur la situation de l’entreprise» : Portrait(s) des entreprises en Wallonie (UWE)

Rentabilité, structure de financement, activité de formation, recherche ou encore utilisation des ressources naturelles : autant de facettes qui sont passées au crible dans l’édition 2009 des «Etudes sur la situation de l’entreprise» que publie ce 24 juin l’Union Wallonne des Entreprises... Le bulletin de santé est relativement optimiste. La Région possède des entreprises saines et dynamiques, mais celles-ci sont insuffisamment nombreuses et trop petites, ce qui constitue un frein à un mouvement de rattrapage d’ampleur de l’économie wallonne.
Le rapport de l'UWE est disponible en deux parties: ici et ici aussi.

Saving money by modernizing the health care system

The fundamental challenge in health reform is to reduce the growth rate of health care costs. If annual cost increases can be lowered, then workers’ incomes will increase, labor market distortions will decline, and government budgets will move closer to balance. If we cannot “bend the curve” of increasing health care costs, then we will not be able to afford our current commitments to Medicare, Medicaid, and the State Children’s Health Insurance Program, let alone the cost of covering the 45 million uninsured Americans....
(D. Cutler and M. Beeuwkes Buntin, Center for American Progress)
For the full article, click here.

Germany Has 1 Million More Muslims than Previously Thought

Read the complete article in Der Spiegel here.

The rise and apparent fall of macro-prudential regulation

Policymakers embraced the rhetoric of macro-prudential regulation in response to the crisis, but most of their proposals have just suggested more micro-prudential regulations of the sort that already failed. This column criticizes those proposals and outlines what real macro-prudential approaches would look like.
http://www.voxeu.org/index.php?q=node/3694

Marché de l'emploi: la loi anti-crise entre en vigueur

Les mesures de la ministre Milquet coûteraient à l'Etat 70,87 millions d'€ en 2009:
1 Une adaptation temporaire du temps de travail de crise
(14,62 millions d'€)
2 Une réduction individuelle et temporaire des prestations
(18,25 millions d'€)
3Une suspension de l’exécution du contrat de travail

Le programme de stabilité belge en seconde sess'

La copie du gouvernement belge a été recalée par la Commission européenne. "Trop d'informations font défaut", explique le commissaire Almunia.

800.000 chômeurs à l'horizon 2011

La Belgique atteindra le chiffre impressionnant de 804.000 chômeurs en 2011, selon les estimations livrées ce mercredi au gouvernement par le Bureau Fédéral du Plan, et que «L'Echo» a pu consulter. Le Plan table aussi le maintien d'une croissance négative (-0,3 %) en 2010. Ces chiffres serviront de base à la confection du prochain budget de l'État.
L'Echo, 25/06/2009

woensdag 24 juni 2009

BBC2's Politics Pen - Must see!

It's a shame we don't have these kind of programs on our public channels. Watch this week's episode here.

Turf wars in banking supervision

It's a shame but for the moment our bank regulators all over the world are not thinking how to improve the system but defending their own interests. Nothing surprising there for public choice economists!

For instance in the UK, the Bank of England wants the power to limit the size of banks but the Treasury Secretary wants the Bank not to interfere with "his" institutions.
http://www.economist.com/displaystory.cfm?story_id=13881022

La crise a fragilisé la situation financière des communes

http://www.lecho.be/actualite/belgique/La_crise_a_fragilise_la_situation_financiere_des_communes.8200258-589.art

Enquête annuelle de Dexia: FR - NL

L'Echo, 23/06/2009

Quaden appelle à réduire la taille des banques

Le Gouverneur de la Banque Nationale juge excessif le poids du système financier dans l'économie. «Si une banque est too big to fail, c'est qu'elle est too big», a souligné Guy Quaden.
http://www.lecho.be/actualite/economie-finances/Quaden_appelle_a_reduire_la_taille_des_banques.8200552-602.art

L'Echo, 24/06/2009.

dinsdag 23 juni 2009

La dette a atteint 89,7% du PIB

La dette de l'Etat est passée en 2008 à 89,7pc du PIB. Sans la crise financière, le ratio de la dette aurait été de 83,4 pc. C'est ce qui ressort notamment du rapport 2008 de la dette fédérale présentée mardi par le ministre des Finances Didier Reynders et le président du Comité de direction du SPF Finances Jean-Pierre Arnoldi.

Flexicurity in Belgium. A proposal based on economic principles

The current unemployment insurance and employment protection legislation were set up in an environment in which relationships between workers and firms were typically long-lasting and stable. The increasing globalisation of the economy and the rapid technological and organisational changes require more flexibility leading to career paths which are much more volatile both within and between firms. Current institutions must be therefore urgently reformed to reconcile this new need of more flexibility with that of security for workers. Rather than proposing a reform on the basis of existing institutions abroad, we propose a reform that is explicitly guided by economic principles.

http://www.ifo.de/pls/guestci/download/CESifo+Working+Papers+2009/CESifo+Working+Papers+May+2009/cesifo1_wp2655.pdf

Overdependence on credit ratings was a primary cause of the crisis

The first part of the paper describes how over time credit rating agencies ceased to play the role of information intermediaries. Rating agencies did not provide information about the risk associated with the securitized instruments, but they simply enabled structurers to create and maintain tranches of these instruments with unjustifiably high credit ratings. The second part of the paper suggests how future policy may minimize overdependence on credit ratings, by removing regulatory licences and by implementing shock-therapy mechanisms to wean investors simple rating mnemonics.

Paper from Frank Partnoy, University of San Diego, 22 June 2009

European public opinion, migration and welfare benefits

Public opinion is turning against migration during the recession, as generous European welfare states make migrants a potential fiscal burden. This column warns against the excessively exclusionary solutions to which voters are turning and suggests decoupling migration and the welfare state.

Full article: It is migration, stupid (T. Boeri, VoxEU, 23/06/2009)

Le Belge dépense toujours plus pour sa santé

Le nombre de consultations chez les médecins spécialistes a progressé de 4,9 % en 2008. Et celles auprès des généralistes ont fait un bond de 6,4 %, du jamais vu. Au total, cela représente des dépenses de 953 millions d'euros (+ 19,3%).

Parmi les spécialistes, ce sont surtout les cardiologues (+10,5 %), les urgentistes (+3,7 %) et les neurologues/psychiatres (+3,2 %) qui ont vu le nombre de leurs consultations progresser. Les gastro-entérologues ont par contre vu leurs consultations baisser de 16,6 %.
Selon les chiffres de l'Inami publiés par le Journal du médecin, les dépenses pour les spécialistes ont augmenté de 8,3 %, passant de 391 à 423 millions d'euros.
« Ce sont surtout les patients indépendants qui sont responsables de cette augmentation », affirme le Journal du Médecin. Sans eux, on constaterait une baisse globale de 1,1 % des consultations de spécialistes.
Les consultations auprès des généralistes ont, elles, fait un bond de 6,4 %, passant de 29,26 à 31,14 millions en 2008. Un chiffre jamais vu, alors que la hausse oscillait entre +0,7 et 2,5 % les années précédentes.
La hausse des dépenses est encore plus importante puisqu'elle atteint 11 %, pour atteindre 530 millions d'euros.

Le Soir, 23/06/2009

Van Rompuy suggère d'économiser 5,7 milliards en 2 ans

http://www.lecho.be/actualite/economie-finances/Van_Rompuy_suggere_d-economiser_5-7_milliards_en_deux_ans.8199783-602.art

L'Echo, 23/06/2009

La Belgique, leader de la pression fiscale dans l'eurozone

Avec des recettes fiscales se montant à 44% de son produit intérieur brut (PIB), la Belgique a la pression fiscale la plus forte de la zone euro, selon des chiffres de 2007 livrés lundi par l'Office européen de statistiques, Eurostat.
Au niveau des 27 pays de l'Union européenne, la Belgique arrive en troisième position, derrière le Danemark (48,7%) et la Suède (48,3%).
C'est surtout au niveau de la fiscalité sur le travail que la Belgique se démarque, avec un taux d'imposition moyen de 42,3%, contre 34,3% en moyenne dans les 16 pays de la zone euro. Seule l'Italie (44%) impose davantage le travail que l'Etat belge.
En revanche, celui-ci taxait la consommation à hauteur de 22% (contre 21,5% en moyenne dans la zone euro), et le capital à hauteur de 31,1% (contre 29,8%).
Bien que parmi les plus élevées d'Europe, la pression fiscale en Belgique a diminué depuis 2000, passant de 45,2% du PIB en 2000 à 44,0% en 2007, selon Eurostat. Une tendance globale à l'eurozone où cette pression est passée de 41,2% à 40,4% sur la même période.
L'étude montre enfin que le taux d'imposition légal maximal sur les revenus des personnes physiques ainsi que sur ceux des entreprises a baissé presque partout en Europe.
En Belgique, le taux maximal d'imposition est ainsi passé de 60,6% en 2000 à 53,7% en 2008 pour les personnes physiques (de 48,4% à 42,1% en moyenne dans l'eurozone) et de 40,2% à 34% pour les revenus des entreprises (34,9% à 26% dans l'eurozone).
L'Echo, 22/06/2009

maandag 22 juni 2009

Combining solidarity and responsibility by improving employment incentives for Belgian decentralized entities

http://www.slideshare.net/daans/solidarity-responsibility-job-incentive-scheme-master-thesis-daan-struyvenv3?nocache=5565

L'UE27 a consacré 26,9% du PIB à la protection sociale Les ratios les plus élevés en France, en Suède et en Belgique

Lisez le communique de presse Eurostat ici.

Faut-il revenir sur la flexibilité?

Lisez l'article complet de G. Bertola ici.

A solution for Europe's banking system

Read the full Peterson Institute Policy brief here.

In search of innovation

Read the fulle WSJ-MIT Sloan article here.

14.740 licenciements en Belgique

14.740 personnes ont perdu leur emploi lors de licenciements collectifs dans notre pays depuis le 1er janvier 2009, selon les chiffres calculés par la CSC. C'est l'industrie qui est le plus lourdement frappée avec plus de 10.000 pertes d'emplois, dont 2.913 pour le seul secteur automobile. Mais le secteur financier paie également un lourd tribut avec près de 1.400 emplois perdus. L'essentiel des suppressions d'emplois a eu lieu en février, avec 3.320 licenciements pour 924 «seulement» en mai. Mais pour le mois de juin, le syndicat a déjà enregistré plus de 2.300 pertes d'emplois.

L'Echo, 20/06/2009

donderdag 18 juni 2009

Iets meer geduld hebben voor de job van je leven

Lees het opiniestuk van Jan Denys hier.

L'OCDE plus pessimiste pour l'économie belge

L'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) prévoit un rétrécissement de l'économie belge de 4% en 2009, soit davantage que ce qui a été annoncé par le Bureau du Plan et la Banque Nationale de Belgique (BNB), qui prévoient respectivement une croissance négative de 3,8 et 3,5%. La semaine prochaine, l'OCDE doit publier officiellement ses prévisions semestrielles pour la Belgique.

Pour 2010, l'OCDE se montre aussi plus sombre, avec une récession annoncée de 0,5%.

L'organisation se montre néanmoins plus optimiste que les institutions belges pour le budget, prévoyant un déficit de 4,2% du PIB, soit 14,7 milliards, contre 4,3% et 5,5% pour le Bureau du Plan et la BNB, écrit L'Echo qui précise encore que pour l'an prochaine, l'OCDE prévoit un déficit de 5,%, soit 19,2 milliards.

(L'Echo, 18/06/2009)

woensdag 17 juni 2009

Voor het eerst in een jaar voert België meer uit dan in

Het is wat trager dan verwacht, maar in april hebben Belgische bedrijven voor het eerst in meer dan een jaar tijd opnieuw meer goederen uit- dan ingevoerd. Ze exporteerden voor 16,2 miljard euro goederen en importeerden er voor 15,3 miljard, blijkt uit de maandberichten van de Nationale Bank. Eerder was uit de zogenaamde ‘snelle raming’ gebleken dat België in maart al opnieuw een uitvoerland was geworden, maar die boodschap bleek voorbarig. De gecorrigeerde cijfers tonen dat bedrijven die maand voor 17,7 miljard euro goederen in het buitenland kochten, en er maar voor 17,6 miljard in het buitenland verkochten. Maar dat neemt niet weg dat de
cijfers voor maart een stuk positiever zijn dan die voor de maanden daarvoor. Dat komt vooral door de handel binnen de Europese Unie en door de handel in machines en
elektronica. STEIL BERGAF Het saldo mag dan voor het eerst in meer dan een jaar weer positief zijn, met de Belgische handelsstromen gaat het nog steeds steil bergaf. Jaar op jaar is de export met 17 procent gedaald in maart. De invoer zakte met 19,7
procent. De snelle raming voor april geeft een nog pessimistischer beeld: de import valt met 29 procent terug en de uitvoer met 35 procent. Wellicht moeten die cijfers
met een korrel zout worden genomen. Dit jaar viel de paasvakantie helemaal in de maand april, terwijl ze in 2008 al op 24 maart begon. Dat maakt dat er dit jaar minder is gewerkt in april, waardoor ook de handel lager is uitgevallen.

Recessie remt groeibedrijven niet

Lees het volledige artikel hier.

Voting twice: A new approach to the limitation of government debt accumulation

How might we limit the accumulation of public debt by democratic governments? This column proposes “voting twice" – first for a deficit ceiling and second for a particular budget. Such a procedure might strike a balance between flexibility and the commitment to refrain from loading debt onto future generations.

The full article is available here.

H. Gersbach (Vox, 17 June 2009)

Doorwerken na 65 jaar is zinloos

Lees het artikel hier.

The recession tracks the Great Depression


Green shoots are bursting out. Or so we are told. But before concluding that the recession will soon be over, we must ask what history tells us. It is one of the guides we have to our present predicament. Fortunately, we do have the data. Unfortunately, the story they tell is an unhappy one.

The complete article from Martin Wolf is available here.

La crise a coûté 12.000 euros par Belge

Le prix à payer pour la crise du crédit se chiffre en Belgique à 120 milliards d'euros entre le troisième trimestre 2007 et le premier trimestre 2009. Soit, en moyenne, 12.000 euros par Belge, selon l'étude "Focus on the Belgian economy" publiée mardi par ING.

http://www.lecho.be/actualite/belgique/La_crise_a_coute_12.000_euros_par_Belge_.8197289-589.art

Minsten 500 miljard USD onverwerkte verliezen overschaduwen de Europese banksector

Read the full article from the Peterson Institute here.

Wallonie-Communauté: un milliard à trouver

La Région wallonne ne retrouvera l'équilibre budgétaire qu'en 2014 et la Communauté française en 2016, selon les perspectives dressées par l'équipe du professeur Deschamps aux Facultés de Namur. Les institutions, que certains voulaient faire passer dans le vert, resteront donc dans le rouge tout au long de la législature.

A politique inchangée, il faudrait trouver 1 milliard d'euros pour équilibrer les comptes des deux entités en 2010. Ces chiffres découlent directement de la crise économique. Les transferts du Fédéral (60 % du budget wallon et plus de 95 % du budget communautaire) sont en effet liés à la croissance. En 2009 et 2010, ce sera donc la bérézina.

En Wallonie, le trou serait cette année de 300 à 800 millions (selon que l'on intègre ou non les normes européennes). Il se réduirait sur les trois exercices suivants… à politique inchangée, c'est-à-dire sans une prolongation du Plan Marshall (280 millions annuels), qui s'éteint l'an prochain. Or, tous les partis réclament sa prolongation et même son extension aux filières vertes. Encore des moyens à trouver…

A la Communauté, le solde de financement serait de 328 millions cette année. Et les prochains exercices ne s'annoncent pas mieux. S'il veut l'équilibre chaque année, le prochain ministre du Budget devra trouver un total de 2,8 milliards d'euros. Cela relève du défi impossible, avec 80 % des dépenses consacrées à l'enseignement.

L'Echo, 17/06/2009

De toekomst van Europese zonne-energie ligt in Africa

Read the full article in Der Spiegel here.

dinsdag 16 juni 2009

Rapport Lamfalussy legt basis voor nieuw financieel toezicht

Lees het volledige artikel van De Tijd hier.

Obama's speech on healthcare reform

Read the full speech here.

Nederlands Planbureau waarschuwt voor structurele effecten van de crisis

Ervaringen van landen die eerder met een bankencrisis te maken hebben gehad, laten zien dat het verschil tussen piek en dal gemiddeld 9% is, en dat het bijna twee jaar duurt om het dal te bereiken. Daarmee vergeleken vallen de gevolgen van de crisis volgens de huidige prognose nog mee. Echter, zonder kredietcrisis zou de Nederlandse economie na 2008 waarschijnlijk ‘normaal’ zijn doorgegroeid, zodat het BBP in 2010 ten opzichte van de oude trend ongeveer 10% lager is. Hoewel er grote variatie is tussen landen, is gemiddeld genomen een substantieel deel van deze misgelopen groei structureel, dat wil zeggen langdurig en misschien zelfs permanent.

Lees meer hier.

Sterke daling van de energetische CO2-uitstoot in 2007 (door zeer zachte wintermaanden)

Tussen 2006 en 2007 is de Belgische energetische CO2-uitstoot met 4,3% gedaald. Hij ligt voor het eerst sinds de ondertekening van de Kyoto-akkoorden duidelijk onder het niveau van 1990 (- 2,3%). Maar de uitzonderlijke daling die in 2007 werd waargenomen gaat samen met uitzonderlijk zachte wintermaanden (januari, februari en december), de zachtste van de hele periode met een gemiddelde temperatuur van 6,0°C tegen 3,3°C in 2006. Het aantal vorstdagen was eveneens uitzonderlijk laag: 27 dagen in 2007 tegen 60 in 2006. Er bestaat een verband tussen de daling van het aantal vorstdagen in de twee opeenvolgende jaren en de daling van de energetische CO2-uitstoot. De afname van het energieverbruik in de residentiële sector over dezelfde periode (- 9,2%) verklaart uiteraard het grootste deel van de teruggang. De jaarlijkse evolutie van onze energetische CO2-uitstoot hangt met andere woorden sterk af van de relatieve strengheid van de winter, los van de trend op middellange termijn, die van het milieubeleid of van macro-economische of technologische factoren kan afhangen en die op het eerste gezicht eerder stijgend lijkt. CO2 is het voornaamste broeikasgas dat België uitstoot en vertegenwoordigt 87,2% van de emissie. België moet zijn emissie tussen 1990 en 2012 met 7,5% verminderen.

Gedetailleerde gegevens hier.

Regulation and American Business

What is the cost to U.S. businesses of complying with federal regulations? In 2004, U.S. federal government regulation cost businesses in the United States an estimated $648 billion.1 This cost burden has increased about 19 percent in inflation-adjusted dollars since 2000. Notwithstanding the many benefits to society of federal regulations, several indicators show that the cost for businesses of complying with these regulations is sizable and has been growing rapidly.

Read more here.

maandag 15 juni 2009

Does climate change affect economic growth

Melissa Dell Benjamin Jones Benjamin Olken.

Hot countries tend to be poorer, but debate continues over whether the temperature-income relationship is simply a happenstance association. This column uses within-country estimates to show that higher temperatures have large, negative effects on economic growth – but only in poor countries. The findings are big news for future global inequality. Read the full article here.

Do you really want to tax ability?

N. Gregory Mankiw , Matthew Weinzierl.

Should the income tax system include a tax credit for short taxpayers and a tax surcharge for tall ones? This column explains how the standard utilitarian framework for tax policy analysis says that individual attributes correlated with wages, such as height, should determine tax liabilities. Taller individuals should pay higher taxes. If this is objectionable, then something is wrong with the standard framework.Read the full article here.

Delay the Minimum-Wage Hike

A recession is the worst time to raise the cost of low-skilled employment. Read the full article here.

Ivan Van de Cloot en Koen Algoed over Responsabilisering van 1) de regionale overheden en 2) de banken

Bekijk de uitzending hier.

vrijdag 12 juni 2009

ECB says job saving schemes delay recovery

In Germany, more than 1m workers are on short-time schemes. In France, 200,000 workers were on chômage partiel – temporarily laid off or on reduced hours – in the first three months of the year – equivalent to 0.7 per cent of the workforce, according to Insee, the statistics agency.

http://www.ft.com/cms/s/0/3ae41a6a-56c6-11de-9a1c-00144feabdc0.html

donderdag 11 juni 2009

Innovation through regulation - The Economist

Why America's corporate innovation beats Japan's

THE most important factor that led to America’s stunning success in information technology was not the free market but government regulation. Federal trustbusters made AT&T lease its lines to others and eventually broke up the giant telephone company. Later they forced IBM to separate its hardware and software businesses. These actions opened the door to competition and lower prices. More important, they changed the industry’s structure, replacing monoliths with smaller, specialised companies which have to work with others with complementary skills. The result has been tremendous innovation.

That good regulation is more important than simply freeing markets in technological industries is one of the main ideas in a new book* by Peter Cowhey of the University of California, San Diego (who recently joined the Obama administration) and Jonathan Aronson of the University of Southern California. Counterintuitively, fragmenting these industries helped common standards to emerge, they say. Such standards allowed businesses to become “modularised” so that, for instance, Microsoft’s operating system and Novell’s applications run on IBM’s hardware while an AT&T internet connection can be used to access Google’s search engine. ...

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Height and Happiness

This one is for me (Brieuc):
According to the Gallup-Healthways Well-Being Index daily poll of the US, taller people live better lives, at least on average. They evaluate their lives more highly, and they are more likely to report a range of positive emotions such as enjoyment and happiness. They are also less likely to report a range of negative experiences, like sadness, and physical pain, though they are more likely to experience stress and anger, and if they are women, to worry. These findings cannot be attributed to different demographic or ethnic characteristics of taller people, but are almost entirely explained by the positive association between height and both income and education, both of which are positively linked to better lives.

Read more here.

Eastern Germany Less Hard Hit than the West

More evidence on the importance of small firms in times of crisis here.

woensdag 10 juni 2009

l'emploi public en Belgique (NBB)

NL http://www.nbb.be/doc/TS/Publications/EconomicReview/2009/ecotijdII2009N_H3.pdf
FR http://www.nbb.be/doc/TS/Publications/EconomicReview/2009/revecoII2009F_H3.pdf

Reforming the public sector in a crisis: An interview with Sweden’s former prime minister

The McKinsey Quarterly. Click here.

dinsdag 9 juni 2009

Kauffman Foundation Study Finds More than Half of Fortune 500 Companies Were Founded in Recession or Bear Market

Read the full article here.

Barometer van de Belgische attractiviteit 2009

Voor de zesde maal op rij publiceert Ernst and Young de “Barometer van de Belgische Attractiviteit”. België zakt van de 5de naar de 8ste plaats op de lijst van de meest aantrekkelijke Europese investeringslanden. Terwijl het totaal aantal investeringen in Europa relatief stabiel blijft, is het in België sterk gedaald : van 175 in 2007 naar 142 in 2008, een daling met 19%. Onrustwekkend is dat slechts de helft van de investeringen echt nieuwe projecten zijn. De andere helft betreft uitbreidingen van reeds bestaande projecten. Bovendien creëren de buitenlandse investeringen weinig bijkomende werkgelegenheid. Nederland werpt zich op als onze grootste concurrent bij het aantrekken van buitenlandse investeringen. De belangrijkste hinderpalen in België zijn de hoge fiscale druk, het gebrek aan ondernemingscultuur én het gebrek aan stabiliteit en transparantie van het politieke en wettelijke kader.

Interessante info over Vlaamse domeinen

Vlaamse administratie overhandigt bijdrage aan regeerakkoord aan formateur

http://www.vlaanderen.be/servlet/Satellite?c=Solution_C&cid=1243311560031&context=1141721623065------1243311560031&p=1183730847285&pagename=Infolijn%2FView

donderdag 4 juni 2009

Bedrijven laten België steeds meer links liggen

BRUSSEL - Ons land is van de vijfde naar de achtste plaats gezakt op de lijst van meest aantrekkelijke landen om te investeren.

Een jaar geleden prijkte ons land met 175 investeringen nog op de vijfde plaats in een internationale rangschikking die nu al voor de zesde keer werd opgesteld door het consultantsbedrijf Ernst & Young. België moest toen alleen Groot-Brittannië, Frankrijk, Duitsland en Spanje laten voorgaan. Het afgelopen jaar verminderde het aantal investeringsprojecten met 19 procent tot 142 en moesten we ook Polen, Roemenië en Rusland laten voorgaan.

Onrustwekkend, vindt managing partner Gust Herrewijn, is bovendien dat nauwelijks de helft van de investeringen betrekking heeft op echt nieuwe projecten. De andere helft betreft uitbreidingen van bestaande investeringen.

Bovendien creëren de investeringen in ons land weinig nieuwe arbeidsplaatsen. Per saldo kwamen er dankzij die buitenlandse investeringen afgelopen jaar 3.391 banen bij. Dat is 23 procent minder dan in 2007.

Bedrijven botsen in ons land, naar eigen zeggen, op een aantal hinderpalen, waarvan de belangrijkste de hoge fiscale druk, het gebrek aan ondernemerscultuur en een gebrek aan stabiliteit en transparantie van het politiek en wettelijk kader zijn.

Vooral Vlaanderen wordt zwaar getroffen. Met 74 buitenlandse investeringsprojecten is de meest welvarende regio van het land nog goed voor 52 procent van het totaal. Vier jaar geleden trok Vlaanderen nog dik 60 procent van het investeringslaken naar zich toe. Sindsdien gaat het systematisch de slechte kant op, terwijl Brussel en Wallonië nagenoeg stabiel blijven op respectievelijk 15 en ruim 22 procent.

Nederland blijkt onze belangrijkste concurrent te worden. Een kwart van de ondervraagde bedrijfsleiders denkt dat ons land het meest te vrezen heeft van zijn noorderburen. De belangrijkste troeven van Nederland zijn volgens de ondernemers de grotere dynamiek van de interne markt, de lagere loonkosten, de sterke 'cultuur en waarden' en de lagere belastingen voor bedrijven.
(lc)


Barometer van de Belgische Attractiviteit 2009 (rapport door Ernst & Young België, juni 2009)



A nice table on subsidising R&D in Europe


Ivan




Recul de l'investissement étranger en Belgique

La crise économique n’est pas sans incidence sur les investissements étrangers qui affichent une croissance nulle partout en Europe sauf en Belgique, où le score est plus défavorable encore. Avec 142 projets d’investissements en 2008 contre 175 en 2007 (- 19 % par rapport en un an), notre pays chute de la cinquième à la huitième place au classement européen, derrière le Royaume-Uni, la France, l’Allemagne, l’Espagne et désormais la Pologne, la Roumanie et la Russie. C’est ce que révèle la sixième édition du "baromètre annuel de l’attractivité" de la société Ernst & Young(1).

http://www.lalibre.be/economie/actualite/article/507042/l-investissement-etranger-reflue-sechement.html

(1) http://www.ey.com/Publication/vwLUAssets/Barometre_de_lAttractivite_en_Belgique_2009/$FILE/Attractiveness2009_fr.pdf

woensdag 3 juni 2009

GM= lemon socialism

Lemon socialism is a pejorative term for governmental support of private sector companies whose imminent collapse is perceived to threaten broader economic stability.[1][2][3] It is not a current within socialism per se; rather, it points to a corruption of free market capitalist systems, which would normally allow defective companies ("lemons") to fail. The most common government interventions that earn the term involve infusions of government capital and may include some governmental control over company decision-making.


http://en.wikipedia.org/wiki/Lemon_socialism

Survey artikel over kosten klimaatverandering in JEP

Only 14 estimates of the total damage cost of climate change have been published, a research effort that is in sharp contrast to the urgency of the public debate and the proposed expenditure on greenhouse gas emission reduction. These estimates show that climate change initially improves economic welfare. However, these benefits are sunk. Impacts would be predominantly negative later in the century. Global average impacts would be comparable to the welfare loss of a few percent of income, but substantially higher in poor countries. Still, the impact of climate change over a century is comparable to economic growth over a few years
There are over 200 estimates of the marginal damage cost of carbon dioxide emissions. The uncertainty about the social cost of carbon is large and right-skewed. For a standard discount rate, the expected value is $50/tC, which is much lower than the price of carbon in the European Union but much higher than the price of carbon elsewhere. Current estimates of the damage costs of climate change are incomplete, with positive and negative biases. Most important among the missing impacts are the indirect effects of climate change on economic development; large-scale biodiversity loss; low-probability, high-impact scenarios; the impact of climate change on violent conflict; and the impacts of climate change beyond 2100. From a welfare perspective, the impact of climate change is problematic because population is endogenous, and because policy analyses should separate impatience, risk aversion, and inequity aversion between and within countries.
In other words: the debate on the subject until now has been mostly driven by dogma and not by science.
Welkom op O'pulsed, de interne Itinera blog die de opiniepolsslag van het internet meet.