Par ces temps de fringale budgétaire, l'immobilier, moins mobile que les capitaux, est une cible de choix. Presser fiscalement la brique belge serait à ce point à l'ordre du jour du gouvernement que les ténors du secteur ne se contentent plus de faire passer leurs craintes discrètement, par relais et lobbies habituels. Ils sortent aujourd'hui de leur réserve.
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